Présentation
Un huis clos sous haute tension où se mêlent humour, suspense et amour impossible.
Trois ans après le décès de leur fille, Anna se laisse convaincre par son mari, Mathias, de vendre leur maison. Mais la veille de la signature, alors qu’ils reviennent du carnaval, Anna apprend à Mathias qu’elle a invité les futurs propriétaires, un jeune couple, à venir boire un verre chez eux. Commence alors une nuit de révélations entre des êtres que tout oppose. Un batteur donne le rythme en direct et accompagne les mouvements incessants des interprètes, qui se révèlent aussi drôles que touchants. Dans la langue alerte du quotidien, cette comédie dramatique se transforme, sous nos yeux, en un fascinant jeu de massacre où se mêlent humour absurde et ambiance hitchcockienne. Comme si John Cassavetes adaptait Qui a peur de Virginia Woolf ?
Distribution
Texte
Martin Legros
Mise en scène
Sophie Lebrun et Martin Legros
Interprétation
Inès Camesella, Sophie Lebrun, Martin Legros, Baptiste Legros et Antonin Meyer- Esquerré (en alternance), Nicolas Tritschler
Assistance à la mise en scène
Loreleï Vauclin
Création son, musique live et régie générale
Nicolas Tritschler
Création son, régie son
Pierre Blin
Lumière
Audrey Quesnel
Scénographie et régie plateau
Antoine Giard
Construction du décor et conseils
Ateliers de la Comédie de Caen, Salvatore Stara, Anatole Badiali, Thomas de Broissia, Antoine Giard
Costumes
Loona Piquery
Musique additionnelle
Andjelka Zivkovic
Doublure en répétitions
Louis Martin
Diffusion
Fanny Landemaine
Administration et production
Loreleï Vauclin, Noémie Cortebeeck
Remerciements
Samuel Gallet, Chloé Giraud, Samuel Frin et Stéphanie Arsène, François Levalet, Olivier Lopez, Le Tapis Vert, Bonnaventure
Crédits photos
Virginie Meigné
La Presse
« Entre la pure drôlerie et le drame, le spectacle du collectif la Cohue dresse le beau portrait d’une femme sur le fil et parvient avec maîtrise à tisser l’absurde, la douleur et le rire. » Libération
« Un spectacle intelligent, ondulant entre temps morts et pics d’intensité. De la raison à la folie, il n’y a parfois qu’un pas… Martin Legros et tous ses comédiens nous le font habilement sentir. » Télérama
« Nimbé de douce dinguerie et innervé de noire mélancolie, le résultat s’avère drôle, touchant, incisif et remuant. À l’image du texte, les quatre interprètes sont d’une grande justesse. » Les Inrockuptibles